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Archives de Tag: crise

Olivier Delamarche le 25 septembre 2012 BFM Business

La zone euro éclatera et cela nous coutera cher… L’Espagne ne remboursera pas ses dettes!!!

 
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Publié par le 25 septembre 2012 dans Analyse, Critique

 

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Olivier Delamarche le 18 septembre 2012 BFM Business

 
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Publié par le 18 septembre 2012 dans Analyse, Critique

 

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Olivier delamarche 4 septembre 2012 BFM Business

 
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Publié par le 4 septembre 2012 dans Analyse, Critique

 

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Olivier Delamarche 28 aout 2012 BFM TV

 
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Publié par le 28 août 2012 dans Analyse, Critique

 

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Pourquoi la crise européenne n’est pas terminée

Trois risques majeures planent sur la zone euro et menacent de faire revenir avec une grande vigueur la crise européenne à la rentrée.

Les jeux olympiques, les vacances estivales et les propos, finalement jugés rassurrants, de Mario Draghi ont offert aux marchés et aux Etats de la zone euro une pause dans la crise de la dette souveraine. Mais il pourrait bien ne s’agir que d’une pause. Et d’ores et déjà, l’automne s’annonce mouvementée.

Fébrilité

On s’en convaincra aisément en observant la fébrilité des dirigeants européens qui profitent de ce début de mois d’août tranquille pour se livrer à des grandes manœuvres. Les propos de lundi dernier du président du conseil italien Mario Monti qui a cherché à faire pression sur l’Allemagne pour qu’elle cède du terrain sur le rachat des titres d’Etat par le FESF et le MES en est une preuve évidente, tout autant que ceux de Jean-Claude Juncker, le chef de l’Eurogroupe, qui a voulu relativiser les effets d’une sortie de la Grèce de la zone euro ou encore de cette information du Wall Street Journal voici quelques jours qui croyait savoir que le FMI était favorable à une nouvelle restructuration de la dette hellénique (à l’exception évidemment que celle que détient le fonds lui-même).

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Publié par le 9 août 2012 dans Analyse

 

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Dommage collatéral : la crise de la zone euro va-t-elle couler le Royaume-Uni ?

La société d’analyse britannique Maplecroft a publié une carte du monde pour représenter les pays les plus exposés à la crise européenne. Attention, surprises…

Evoquer la crise de la zone euro conduit inévitablement à parler de l’Espagne, de la Grèce, de l’Italie. Mais d’autres pays sont très exposés à cette crise, et bien plus vulnérables qu’on ne pourrait l’imaginer comme le révèle une étude publiée fin juillet.

La société d’analyse britannique Maplecroft, qui a réalisé l’étude sur ce sujet, publie également une carte du monde qui montre quels sont les pays exposés à la crise qui agite l’Europe.

 

Cliquer pour agrandir (Crédit Maplecroft)

Tour d’horizon des pays qui pourraient bien s’effondrer avec la crise de l’eurozone.

En numéro un des 169 pays étudiés, on trouve le Royaume-Uni.

Si l’euro s’effondrait, l’Angleterre serait le plus durement frappée. La raison se niche dans ses exportations bien évidemment.

L’Europe est l’un des premiers partenaires commerciaux du Royaume-Uni. Près de 50% du commerce total de l’Angleterre se fait en effet avec des pays membres de la zone euro.

L’effondrement de l’Espagne ou de l’Italie pourrait entraîner une chute de 7% dans le commerce anglais, ce qui équivaudrait tout de même à des pertes de près de 120 milliards d’euros, rien que dans le secteur bancaire.

Le secteur bancaire britannique est en effet également très exposé à la crise de la zone euro. Le Royaume-Uni a placé 480 milliards d’euros dans les banques européennes, mais aussi dans les obligations d’Etats. Autant dire que le pays aurait beaucoup à perdre d’un effondrement de la zone euro. Et pas beaucoup de possibilités de se sortir d’une telle situation. Son déficit fiscal frôlant les 8% du PIB, et une dette publique considérable ne lui seront d’aucune aide pour répondre aux crises de la zone euro, comme le révèle l’enquête de Maplecroft.
Au-delà du Royaume-Uni, l’Europe centrale menacée Read the rest of this entry »

 
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Publié par le 8 août 2012 dans Analyse

 

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L’Italie s’enfonce dans la récession au deuxième trimestre

Le produit intérieur brut italien a reculé de 0,7% au deuxième trimestre 2012.

Nouveau trimestre de contraction pour le PIB italien. Entre avril et juin, celui-ci s’est rétracté de 0,7% selon des chiffres de l’institut public de statistiques publiés ce mardi. Et si, au premier trimestre ce recul semblait plus prononcé (-0,8%), la situation s’aggrave par rapport à l’an dernier. Le PIB italien s’est en effet contracté de 2,5% au deuxième trimestre par rapport à la même période l’an dernier, alors qu’entre janvier et mars, il se réduisait sur un an de 1,4%.

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Publié par le 7 août 2012 dans Information

 

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Olivier Delamarche le 7 aout 2012 BFM Business

 
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Publié par le 7 août 2012 dans Analyse, Critique

 

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Pour Washington l’Europe va devenir insignifiante

Dans son rapport stratégique qui sera publié à l’automne, le National Intelligence Council, proche de la CIA, estime que d’ici une vingtaine d’années, il n’y a plus que deux puissances mondiales, les Etats-Unis et la Chine. Seule une Europe unie et fédérée peut encore faire mentir cette analyse, estime Bernard Barthalay.

Le président du Conseil européen a été invité, il y a près d’un mois, à élaborer, en collaboration étroite avec les présidents de la Commission, de l’Eurogroupe et de la BCE, une feuille de route spécifique et assortie d’échéances précises pour la réalisation d’une véritable union économique et monétaire. Un rapport intermédiaire sera présenté en octobre et un rapport final avant la fin de l’année 2012.

L’Europe pense à elle, fait abstraction du monde et des crises qui couvent, prend son temps, croit en gagner sur sa propre crise en bricolant des solutions incomplètes et temporaires, en perd sur l’histoire à chaque petit pas, et renvoie l’union politique aux calendes. Les chefs d’Etat et de gouvernement européens décident ainsi enfin de reconnaître implicitement que leur UEM n’est pas « véritable » et, explicitement, que les citoyens sont déconnectés de l’Union européenne et de l’euro.

Leur réponse à ce constat d’évidence? Ils se promettent de décider en 2013 ce qu’il faut mettre à sa place, sans dire « véritablement » quoi, en tout cas sans rappeler quelle était l’idée de départ : les Etats-Unis d’Europe.
Deux puissances en 2030: les Etats-Unis et la Chine

De l’autre côté de l’Atlantique, le National Intelligence Council des Etats-Unis d’Amérique vient de mettre en circulation une ébauche de son quatrième rapport stratégique non protégé en vue d’une publication en novembre: à l’horizon 2030, il n’y a plus que deux puissances autonomes, les Etats-Unis et la Chine, peut-être une seule, la Chine. Pas d’Europe dans aucun des scénarios envisagés. Cela veut dire que l’Europe a déjà convaincu le monde, en tout cas Washington, qu’elle ne compte plus, qu’elle est désormais insignifiante.

Van Rompuy, Barroso, Juncker et Draghi seraient bien inspirés de regarder ce rapport d’un peu près pour se convaincre eux-mêmes, si ce n’est déjà le cas, de l’impossibilité de combler le vide d’Europe du rapport américain par une Union économique et monétaire, fût-elle « véritable », et de la désinvolture des dirigeants européens quand ils décident de ne décider qu’à la fin de l’année.

Sans attendre, nous avons lu ce rapport en examinant successivement les tendances lourdes, les variables-clés et les scénarios.
Libération de l’individu

Le rapport retient six tendances qui structurent le monde de demain: la libération de l’individu (individual empowerment), la démographie, la dispersion de la puissance (diffusion of power), l’énergie, l’eau et l’alimentation. En l’état, la seule bonne grande nouvelle du siècle qui vient est la libération de l’individu: à mon humble avis, le XIXème siècle a achevé de libérer les nations, le XXème a achevé de libérer les classes, et le XXIème peut achever de libérer l’individu.

Cette affirmation confiante doit être tempérée cependant : elle ne vaudra que pour les pays dont l’école et l’Université auront anticipé les avancées technologiques et les auront mises au service de leurs missions éducatives. En Europe, la plupart de nos systèmes éducatifs nationaux sont en échec. Il convient de les moderniser dans un effort européen commun, en sélectionnant les meilleures pratiques mondiales, tout en mettant les Européens en état de se reconnaître mutuellement et de se comprendre.

Dans l’histoire de notre continent, le seul précédent est celui de l’école publique, gratuite et obligatoire, le grand œuvre de l’Etat-nation. Quand les concurrents s’appellent la Chine et les Etats-Unis d’Amérique, ce nouveau grand œuvre n’est plus seulement une affaire nationale, mais l’affaire aussi d’une puissance publique européenne, et d’une stratégie d’ensemble.
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Publié par le 24 juillet 2012 dans Analyse

 

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Olivier Delamarche le 24 juillet 2012 sur BFM Business

 
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Publié par le 24 juillet 2012 dans Analyse, Critique

 

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